Qui consuma presque tout, autour, sans raison
Qui engendra, ici et ailleurs, bien d'oraisons
Une vision d'enfer pour un bout de paradis.
C'est bien ici que l'étincelle mal maitrisée
Finit, un de ces matins, par tout embraser
Consumant le cœur, le malheureux, le premier
Puis s'étendant ensuite au corps, en entier.
C'est ici qu'on arrivât à détester la flamme
Vacillant sous les souffles d'humeur de la femme
Celle s’étant enflammée pour trop peu.
Alors pourquoi vouer à cet amour un culte,
Celui qui ne se nourrit que de tumultes
Pour n’être qu'un feu qui s'éteint à petit feu.
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