mercredi 29 janvier 2014

À UN GRAND ESPRIT (poème par Eugenio)

Au début je me suis cru cocu !
Coup de coude au cou, sur le cou
J'en serais devenu fou ou plus
Si dans une verve jusqu'au bout

Soutenue, elle ne soutint le coup
Arguant que djandjou depuis
J'étais, en plus déjà d'être fou,
Et non juste petit esprit tordu.

Ah satanés grands esprits écrivant
Comme font les savants sachant,
Pourquoi posséder une simple dame ?

Que dis-je ,une enfant quasi femme
D'un parfait génie supérieur j'avoue
Mais faisant cocus et djandjous partout ?
              
À Mélissa Guéï , talentueuse...mais qui le sait.