mercredi 6 juillet 2011
NAFI (poème par P.A)
Par un après midi ordinaire
Il a commis une beuverie extraordinaire
Sur le chemin de l’Elysée
Trop étroit pour ses orgies et mondanités.
Comme à l’accoutumée, un somptueux buffet
Menu exotique, titillant sa curiosité
Il a bu gorgée pleines à la coupe d’infidélité
Et se retrouve photographié menottes au poignet.
Malheur, je suis une femme de chambre abusée
Il m’a volé honneur, discrétion et dignité.
Ce magnat de la finance aux quatre épingles tiré
Il est aujourd’hui de tous la risée.
Incarcéré puis à résidence il est assigné
Présomption d’innocence et autres discours d’érudit
Enfermé dans un placard à double tour fermé
Personne ne s’est une fois demandé, et si j’avais menti…
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5 commentaires :
Ah là,bien envoyé P.A!
j'avais jamais pensé à une telle option...
merci plume d'argent...
C'est vrai qu'en général une femme ça ne ment pas...n'est ce pas?
Eugenio Diby
bonjour,
Tant que les preuves ne sont pas la, DSK n' est pas encore coupable.Je ne suis pas en accord avec cet écrit,il est bien écrit,les mensonges sont de toute part.Et la question pourquoi être rentre dans cette chambre puisque lorsqu'elle est occupée la femme de chambre ne doit pas y aller?
@toi et moi: je pense justement que dans l'écrit, l'auteure parle de Nafi qui a menti (non l'inverse)
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