Parfois gamine, tantôt câline
Qui vous étreint avec un érotisme
Dont Elle seule détient le secret
Sans retenue, Elle s'invite chez vous
Avilissant corps et cœur fragilisés
Électrisant vos glandes lacrymales
Par de tendres baisers orgasmiques
Commence dès lors une intense idylle
Jusqu'au bout des nuits solitaires
Où s'empoignent souvenirs et amertumes
Au rythme dépressif d'un amer tango
Elle est la plus fougueuse des maîtresses
Pour ceux, perdus, qui plus n'en peuvent
Et quand bien même on la nomme "mélancolie"
Pour moi, elle est vivante amante : ma Zoé.
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