Amie tu es ma douleur
Toi qui me fais voir toutes ces couleurs
Et percevoir dans le lointain,
Des voix sans fin
Tu poses tes baisers assassins
Sur mon corps avec assiduité
Toi dont mon cœur est étreint
Et ne soupire lentement d’acidité
Tu es là pesante et errante
Devant ma face sanglante
Qui murmure endolorie
Des blasphèmes indécis
Tu demeures là, cynique et ironique
Face à mon destin tragique
Qui me fait ton esclave
Avant que tu m’emportes dans ce long voyage.
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