Vous voici, madone ma bien aimée
Qui mourez dans mes mots.
Merveilleuse, vous m'aviez charmé
Et remué tous mes maux.
Vous! Je vous vomis comme un met
Périmé une fois consommé.
Vous quitterez mon monde sans un mais,
Même si vous en étiez le sommet.
Malheur à l'amoureux enflammé
Qui aimait à vous magnifier
Se donnant du mal pour vous acclamer.
Femme à la flamme à s'en méfier
Qui cramerait même un cœur inanimé
Vous êtes maudite et bien abimée, ma bien-aimée.
3 commentaires :
Je ne savais pas que tu avais des talents d'ecrivains. Joli poeme.
curieux de connaitre l'auteur de ce commentaire :)
loooolllll vraiment anonyme qui êtes vous?
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