Tu n'auras pas milles heures de repit
Le temps vient à bout de la monotonie
Et le vide de vie dans ta vie t'emportera.
Un jour, crois moi mon fils, tu mourras
Comme meurent les chiens,sans maîtresse
Étouffé par la laisse de tes faiblesses
Ces insuccès qui naissent de ce que tu n'osas
Avoir des vices assumés par lot dans le placard
En sortir le génie,ces rêves absurdes d'un soir
Et compter pour mieux que le septième milliard.
Oui cher fils,tu mourras de n'avoir pas vécu, c'est tout
Et si je l'écris comme on défonce une porte sans verrou
C'est que ce jour tu ne verras de larmes que sur mes joues.
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