Sous le regard compatissant de l’astre couleur mascarpone
A l’heure où les grillons, tout haut, sauf en chœur, chantonnent
Ce soir-là, sans prévenir, elle est apparue aussi pure qu’une none
A son allure humide et hésitante, quiconque l’aurait deviné poltronne
Mais elle s’avança et me fit sentir sous sa caresse, mille douceurs d’une tonne
Devant sa transparence, impossible de fermer mon âme… Une véritable dragonne
Voilà ce qu’elle était… D’apparence fragile, déterminée; et tellement mignonne.
Son charme irrésistible semblait lui venir des mythiques geisha nippones
Elle savait mieux que personne vaincre ma tristesse ; telle une courageuse consonne
attaquée de toutes parts par d’agressives voyelles…C’était une battante ; une lionne
Je ne saurai la décrire autrement ; elle qui semblait pouvoir tout devenir, sauf coch….
Elle a parcouru les plaines de mon épiderme facial comme un silence qui résonne
Et sa brève existence m’a donné de philosopher sur les regrets qu’on abandonne
Sur ces douleurs qui germent ; en nous plantées par d’innocentes ou méchantes c…
Tel était le destin de ma larme, née pour me dire qu’aussi, pleurent les hoMMes
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